Voici une terrible histoire méconnue par beaucoup de noirs. C'est une histoire choquante, révoltante, et je dirais même dégoutante tellement elle vous donne la chair de poule ! On a l'habitude de voir des métis issus de couples blancs et noirs, mais il existe un métissage aussi rare que tabou: celui des noirs et des asiatiques. Ainsi, au Congo, pendant de longues années, les expatriés japonais installés dans ce pays y ont fait de nombreux enfants métis. Simplement, avant de rentrer au Japon, ils ont décidé d'exterminer ces enfants issus de relations éphémères avec des femmes congolaises.
Ce génocide à demi-mot s'expliquant par le fait que le métissage est condamné par la culture japonaise. En effet, les japonais comme le reste des asiatiques, ne se mélangent pas; et surtout pas avec les noirs ! Il n'y a pas que les asiatiques en Afrique, même les blancs aux Antilles et les arabes en Haïti ont la même attitude : Ils peuvent certes avoir des rapports sexuels avec des femmes noires, mais ils entendent avant tout assurer une sorte de "pureté raciale" en évitant de se reproduire avec. Cette vidéo lève un pan de voile sur la tragédie de ces métis afro-asiatiques qui ont réussi à échapper à leur extermination par leurs propres pères.
La vidéo du reportage
Elle devrait interpeller la conscience d'une bonne partie de la communauté noire si amoureuse du métissage, si désireuse du mélange qu'elle finit par oublier que ce fantasme n'est pas partagé par les autres communautés. Si je comprends que, misère faisant, beaucoup de femmes africaines, antillaises, haïtiennes, guyanaises, cherchent "l'homme à la peau claire" moins par complexe que par réflexe de survie alimentaire, je reste cependant circonspect sur le fait de coucher sans préservatif avec un touriste par exemple. Au-delà du danger lié aux grossesses indésirées, le risque de choper une maladie est bien plus à craindre. En ce sens, cette vidéo devrait aussi questionner la légèreté de certaines femmes qui n'hésitent pas à se donner sans protection à un amant de passage, pourvu que celui-ci soit français, libanais, japonais...
Loin de moi l'idée qu'il ne faille pas se mélanger aux autres, cependant, il est urgent que les noirs cessent d'être pratiquement les seuls au monde à vanter, valoriser, rechercher le "bébé métis", surtout si c'est pour que ce dernier se retrouve rejeté comme c'est le cas des nipo-congolais. Je le dis d'autant plus qu'ailleurs (Europe, Asie, Monde arabe), on privilégie l'endogamie, et un métis, aussi clair soit-il, reste vu comme un noir.
© La chronique epicee
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